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Les nuits de l’Alligator
mercredi 8 février 2012, par
Kitty Daisy & Lewis sont frère et sœurs, tous enfants du rockab 50’s. Cette triplette sexy gominée se recoiffe dans le rétro. Marseillais, Oh ! Tiger Mountain descend de sa calanque à pinces, sans rire, folk biscornu en bandoulière. Peu cher et précieux.
Les bottes de Lindie Ortega sont faites pour marcher sur la route de la country. Quand Dolly Parton souffle dans l’envergure d’une Linda Ronstadt en herbe. Pas ballot cette country.
One-man band, Lewis Floyd Henry, doigts à la guitare, poing contre les fûts, dégaine un hip-hop bluesy-trashy.
Isolé et dénudé, le loner Dirty Beaches est plus vénéneux que Timber Timbre. Ce crotale diamantin fout le coyote avec sa crécelle.
Helvètes, Mama Rosin dévoilent la dette des musiques américaines à la vieille Europe . Crossroad trafic ! La suite, le 21 février dans un prochains numéro.
Bertrand Lanciaux
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